Être en PVT c’est faire partie d’une aventure, de quelque chose d’unique. Je me suis donc posé la question de savoir qu’est-ce que les PVTistes ont tous en commun ? Qu’est-ce qui nous rapproche exactement ? Voici 8 raisons qui font que tu es un pur et dur PVTiste. Voici une étude ethno pathologique de ce groupe de personnes hors du commun (oui j’aime me dire que nous sommes à part lol ) Enquête.
Je vous avez parlé des maisons colorées de Montréal. Je vous ai aussi fait découvrir le marché Jean Talon, mon coup de coeur pour les glaces de la Diperie, mes adresses de cafés pour s’abriter en cas de pluie, ou encore mon itinéraire pour une balade ensoleillée le dimanche. Et pourtant, on me demande souvent quelles sont mes idées de visites dans la ville. Quels sont les incontournables ? Il faut savoir une chose, Montréal ce n’est ni Paris, ni New-York. Avoir un parcours millimétré dans Montréal c’est inutile. On ne visite pas Montréal, on s’imprègne de l’atmosphere et on profite de la ville.
Trop abstrait pour vous ? Ok j’ai compris je vous fait un petit guide des incontournables. Et puis des petites listes pour pimenter tout cela.
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S’échapper de Montréal le temps d’un week-end pour la première randonnée du printemps c’est un passage obligé. Vous avez survécu à l’hiver (en faisant les activités recommandées sur cet article) , vous avez profité de la fonte des neiges en vous goinfrant dans une cabane à sucre (article par ici) ? C’est parfait maintenant place à la verdure et à l’ambiance champêtre !
Le meilleur moyen de visiter une ville c’est de s’y perdre et surtout d’avoir de bonnes baskets. Car pour découvrir il faut marcher (ou pédaler). Les kilomètres à pieds ca use les souliers mais ca fait du bien aux yeux. Alors promenons nous sur les routes de Montréal. Voici une idée de balade de la ville un dimanche.
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Tout le monde vous dira la même chose (du moins les personnes qui aiment les animaux), l’expérience chiens de traineaux c’est plus qu’une simple balade avec des loups en peluche ! Vous devez être au courant de ma passion pour nos amis les bêtes donc forcement vous vous dites que je ne suis pas objective. Mais non, je peux vous dire qu’une simple journée en compagnie de ces 6 merveilles a changé ma vision de la vie. Oui, du coup j’ai envie de tout plaquer pour devenir musher ! (toujours plus la fille :))
En marchant dans la rue la semaine dernière (oui quand je marche je réfléchis beaucoup) je me disais qu’il y avait pleins de raisons différentes qui prouvaient que j’étais bien dans les rues de Montréal. Vous savez, ces signes distinctifs, ces actions que nous répétons, ces paroles que l’on entend. Toutes ces choses qui font que l’on reconnait bien la ville dans laquelle on se trouve.
Alors pour moi quand tu commences à connaitre la ville ou même que tu y habites, tu as plusieurs détails qui ressortent.
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Expat’ c’est le genre de mot qui montre direct que tu te la racontes. Exemple : dans une conversation cela fait toujours bien de placer « Oui depuis que je suis expat’ je suis plus ouverte sur le monde…blablabla » Foutaises ! On dit juste ça pour se donner du style. Donc après vous avoir dressé mon bilan « d’expat » des 6 mois au Canada (je vous avez raconté ma life tout ça), j’ai décidé de vous donner les 12 leçons que j’ai tiré de ma vie après un an ici (oui car je suis trop une fille qui fait des listes, des bilans, de l’auto introspection, de la psycho analyse sur le sens de la vie quoi !)
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Qui dit couleurs dit forcement « street art ». Philadelphie, Paris, Berlin, Londres, Lisbonne… ces villes sont devenues les reines en la matière. Le Canada lui aussi a sa place dans le lot ! Après Montréal et son parcours Mural, c’est à Toronto que j’ai découvert quelques unes de ces oeuvres.
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Si vous suivez mes aventures sur Instagram (vous avez le droit d’en avoir marre aussi), vous avez du être envahis de couleurs orangées tout au long du mois de septembre. Effectivement, j’ai passé l’étape du premier automne au Canada.
En tant qu’expatriée, la transition entre ton ancienne vie (c’est à dire la majeure partie de ton existance) et ta nouvelle vie dans une culture différente, est toujours un cap difficile à passer. En tant que bon français, on compare, on critique, on râle. En gros quand c’est différent on est pas content (je ne généralise pas, même vous les optimistes vous avez du râler un jour ou l’autre). Mais avec le temps, on s’acclimate et on devient presque un citoyen modèle ordinaire qui se fond dans la population québécoise. Voici les signes que tu es passé de l’autre côté de la barrière (celle des expatriés aguerris)
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