Des réflexions, des blagues et des pensées sur ma vie à l’étranger.
Aujourd’hui sur le blog, on parle d’un sujet très grave (Don’t worry, vous commencez à connaitre mes ironies quotidiennes), qui peut atteindre les meilleurs de ce monde : la maladie de la bougeotte. Dans le jargon des jeunes, on appelle cela les « travel addict ».
[tweetthis hashtag= »wordpress »]La maladie de la bougeotte est un trouble profond qui se manifeste par une envie permanente de voyager[/tweetthis]
En discutant avec des collègues expatriées (oui je suis une vraie pipelette, vous n’avez pas idée), je me suis fait la remarque que beaucoup de personnes nous posaient les mêmes questions. Que l’on vienne de Marseille, Lyon, la Bretagne, l’Alsace, la Belgique profonde ou encore la Saône et Loire (big up Cam Cam, oui il y a des gens qui vivent là bas !) nos familles et nos amis français ont tendance à s’imaginer des choses sur notre vie. Se faire une idée préconçue de la vie en tant qu’expatrié à l’étranger.
[tweetthis hashtag= »wordpress »]Quand tu vis à l’étranger les gens pensent que ta vie c’est Rendez-vous en terre inconnue[/tweetthis]
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Moi la marseillaise sur vitaminée j’ai besoin d’énergie quand arrive l’hiver (en gros je fais que manger pendant 4 mois) Mais sinon en vivant à Montréal, j’essaye chaque jour de trouver le côté positif de vivre dans une ville où l’écart entre l’été et l’hiver est de 80 degrés (oui simple calcul mathématique -40 l’hiver et 40 l’été). Bref, je vous raconte ma vie, mais surtout tous les avantages à vivre au Canada en hiver (oui il y en a des avantages croyez moi).
[tweetthis hashtag= »wordpress »]L’avantage quand il fait froid c’est qu’on ne t’en veux pas si tu n’as pas de style ![/tweetthis]
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Au départ je voulais écrire un article qui expliquait les différences entre les expressions québécoises et françaises. Puis je me suis dit que des tas de livres faisaient déjà ça très bien. Alors, j’ai plutôt décidé de vous raconter des situations dans lesquelles moi même ou des personnes que je ne citerai pas (je suis sympa comme nana quand même) se sont retrouvées ici en vivant au Quebec. Je pense que l’on pourrait faire un sketch de ces histoires. Et puis bien sur pour la fin, un petit guide de survie des différences qui m’ont marqué.
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Passer l’hiver au Canada c’est un peu l’épreuve ultime pour savoir si tu es capable de vivre dans un pays où il fait froid (big up à mes copines du sud je sais que vous adorez les ressentis à -25 degrés). Mais moi je dis : « Et pourquoi pas tirer un avantage de cette contrainte? » Non ? Quand arrive les fêtes c’est à cet instant que la magie opère. Le décor qu’on s’imaginait dans les films de Noël fait sa grande entrée. Voici donc une petite liste de choses à faire quand tu survivre et affronter l’hiver québécois.
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En marchant dans la rue la semaine dernière (oui quand je marche je réfléchis beaucoup) je me disais qu’il y avait pleins de raisons différentes qui prouvaient que j’étais bien dans les rues de Montréal. Vous savez, ces signes distinctifs, ces actions que nous répétons, ces paroles que l’on entend. Toutes ces choses qui font que l’on reconnait bien la ville dans laquelle on se trouve.
Alors pour moi quand tu commences à connaitre la ville ou même que tu y habites, tu as plusieurs détails qui ressortent.
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Expat’ c’est le genre de mot qui montre direct que tu te la racontes. Exemple : dans une conversation cela fait toujours bien de placer « Oui depuis que je suis expat’ je suis plus ouverte sur le monde…blablabla » Foutaises ! On dit juste ça pour se donner du style. Donc après vous avoir dressé mon bilan « d’expat » des 6 mois au Canada (je vous avez raconté ma life tout ça), j’ai décidé de vous donner les 12 leçons que j’ai tiré de ma vie après un an ici (oui car je suis trop une fille qui fait des listes, des bilans, de l’auto introspection, de la psycho analyse sur le sens de la vie quoi !)
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En tant qu’expatriée, la transition entre ton ancienne vie (c’est à dire la majeure partie de ton existance) et ta nouvelle vie dans une culture différente, est toujours un cap difficile à passer. En tant que bon français, on compare, on critique, on râle. En gros quand c’est différent on est pas content (je ne généralise pas, même vous les optimistes vous avez du râler un jour ou l’autre). Mais avec le temps, on s’acclimate et on devient presque un citoyen modèle ordinaire qui se fond dans la population québécoise. Voici les signes que tu es passé de l’autre côté de la barrière (celle des expatriés aguerris)
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Partir s’expatrier c’est pour beaucoup synonyme d’aventure. Mais l’expatriation ce n’est pas que l’aventure c’est aussi le changement et une nouvelle façon de vivre au quotidien. Voici un bilan de mes 6 premiers mois au Québec.
Le Canada ce n’est pas seulement le pays de Céline Dion, c’est aussi un pays riche de culture, de paysages fantastiques et personnes formidables. Alors si vous n’étiez pas encore sûrs, je vais vous donner 10 raisons qui me font aimer le Québec et les québécois.
